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9 mai 2010 7 09 /05 /mai /2010 20:12

ARTBON-2.jpgImaginez.

 

Paris au XXIème siècle, tel qu'aurait pu le cauchemarder Jules Verne.

 

Le Ministère de la Culture et le Ministère de l'Education sont dissouts et rattachés au Ministère de l'Economie en tant que "Secrétariat d'Etat à l'Education du Temps de Cerveau Disponible".

 

Le Secrétaire d'Etat en poste nommé par le Président de la République serait le Président de l'ORTF : Organisation Républicaine de la Télévision Française.

 

Tout acte de création doit obligatoirement être soumis au CSA : Conseil Supérieur des Amalgames. Cette instance suprême évalue le niveau de "soupe populaire" que l'on va diffuser à nos très chers cerveaux lobotomisés.

 

La présence d'un poste de télévision, voire plusieurs, soit un dans chaque pièce de la maison - y compris les toilettes, devient obligatoire.

 

Les musées, cinéma, théâtre, bibliothèques, cirques, opéras, salles de spectacles, etc., sont fermés et réhabilités en prison et centres de reééducation mentale pour les opposants à la PBA (pensée bienpensante active).

 

L'accès au web-libre est interdit sous peine de mort.

 

Toute idée ou intention de partager un savoir, une pensée, une connaissance, une expérience sensorielle et émotionnelle qui permettrait de réfléchir est reconnue comme acte terroriste.

 

L'ensemble des budgets habituellement dédiés jusqu'alors à l'aide à la création sont alloués à l'ORTF pour produire des programmes de téléréalité violents, dégradant l'image de l'humanité et excitant l'idôlatrie du dieu Argent.

 

Georges Orwell avait imaginé un futur de ce genre dans 1984... Impossible me direz-vous, surtout en France ?

 

Lisez ça, signez la pétition et soyez là le 31 mai !

 

 

 

 

 

 

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30 décembre 2009 3 30 /12 /décembre /2009 01:55

etoiles.jpgDes étoiles multicolores flottent négligemment au-dessus de ce point de ralliement … cet abreuvoir moderne.


Un ponte (improvisé ?) du Pop Art – du moins ce qui peut en rester après cinq décennies – a choisi de mettre de la couleur dans cet endroit légendaire de sobriété.


A l’heure du drink, les cadres sont ponctuels pour respecter le rituel de l’out of desk. On se retrouve entre friends ou collègues pour se donner le courage d’affronter la soirée qui commence après la longue journée… on achève bien les hommes de bureau ;)


Il n’y a que de la belle gueule, du menu fretin : autour du bar, on s’arrête pour boire ou se faire voir pour certains… Alcoolisme social à l’occasion d’un happy hour qui est plus toléré que le fait de fumer en public.
Le droit de cité est réservé à une certaine élite, top model de préférence.

Le soleil de Martinique se commande au comptoir et se marie aux couleurs de la menthe ou des fruits pour réchauffer des corps maltraités par le stress et le froid qui sévit à Paris cet hiver, mais qui est courant quelle que soit la saison dans nos sociétés de solitaires. La solidarité s’achète à un autre comptoir : étui en cuir pour préservatif anti SIDA…

Les corps s’attablent affables à des tables confortables pour raconter quelques jolies salades le temps d’une drague : les poses sont étudiées, les dress codes respectés…

Les paquets envahissent les banquettes : emplettes shopping ou de Noël, un homme est scandalisé pour une boîte cadeau qui manque à l’appel pour emballer le précieux présent… et sa belle…

Dans son angle, elle a vue sur l’assistance malade des stéréotypes et de la télé-commande publique appliquant consciencieusement les consignes des marques… êtes-vous vaccinés contre la grippe du con-so-matteur ? ou appréciez-vous encore de vivre de voyeurisme et par procuration ?

Les téléphones parasitent sans cesse les conversations, de même que les pauses-clopes qui obligent à braver le froid.

On trinque dans ce qui n’est pas un bastringue mais un cadre chic pour cadres chics et touristes friqués. Amère est la note, salée l’addition, mais l’addiction se paie (à) ce prix là : fréquenter les endroits, avoir les choses comme il se doit, être marqué, remarqué, avoir les entrées VIP, tout à un prix et se négocie à la baisse des valeurs qui elles ne se monnaient pas.


A les voir tous aussi gays, je me dis que moi aussi je devrais avoir mon MAG* et lire les revues de salle d’attente pour prendre des nouvelles du beau monde qui se complait dans le haut vol d’identité, identifiés parfois par erreur en tant qu’idoles, vu qu’on n’en fait plus beaucoup de vraies, comme nous l’a rappelé le décès de Michaël Jackson.

Le temps s’évade, la salle se vide autant que l’heure avance : d’autres endroits réclament leur présence…





*MAG : meilleur ami gay, stéréotypé dans les relations féminines, le must have de toutes les comédies romantiques...

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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 10:54
Article à lire sur mon blog "Visions de l'écrit" sur la plateforme Owni.fr

Réflexions post-partum ou la “douce révolution” du Groupe Le Figaro

Le titre de cet article se réfère à la métaphore filée par Bertrand Gié lors de la conférence d’hier soir au Press Club, sur le thème : Le Figaro.fr/Le Figaro, l’union sacrée du web et du print. Illustrant l’évolution de l’intégration du support web au sein du groupe Le Figaro, il est parti de l’image de la FIV (fécondation in vitro) effectuée par une équipe, à l’extérieur même des locaux et dont l’embryon s’est ensuite implanté dans le ventre de la mère pour se développer… Même si la volonté hiérachique devait être forte pour réussir la transition, elle s’est appuyée sur les ressources en interne et les personnes motivées pour instaurer le changement. Car on ne devient pas n°1 (classement de Juin 2009 avec 6,7 millions de visiteurs uniques) aussi facilement…

Le titre Le Figaro fête ses 183 années d’existence et tirait traditionnellement ses revenus de 3 sources : la vente au numéro, la publicité et les petites annonces. Au moment du rachat par le Groupe Dassault, le virage numérique s’est accompagné d’une diversification en trois branches : les sites éditoriaux (Le Figaro.fr, TV mag, Sport 24, …), les sites de services (billetterie avec le rachat de TickeTac, Bazar Chic) et les sites de petites annonces à travers aden classifieds (keljob, cadremploi, …). L’ensemble de ces sites draine 12 millions de visiteurs uniques par mois, soit 1/3 de l’audience totale des internautes français.

En parallèle de la réflexion générale autour des “nouveaux médias” assumée par Bertrand Gié au sein du groupe, Luc de Barochez s’attache à la stratégie éditoriale, qui s’oriente volontairement vers une couverture la plus large possible, proposant une vue exhaustive de l’information disponible à un instant “t”, au travers des contenus conjugués de la rédaction, des partenariats et des liens.

Depuis plus d’un an, Le Figaro.fr a choisi d’innover en implantant dans ses locaux un studio de télé numérique qui permet la production quotidienne en direct du Talk à 18h et du Buzz Media.  Mais il ne s’agit pas de changer de métier pour autant, c’est une adaptation des contenus au média, et non une tendance lourde qui transformerait Le Figaro.fr en web TV. Il n’y a pas de volonté de rendre l’ensemble des journalistes polyvalents mais l’objectif est d’être à l’écoute des personnes motivées à l’instar de Luc de Barochez précédemment responsable du service Etranger de la rédaction papier et qui a demandé de façon volontaire à passer sur l’édition en ligne, devenant le Directeur de la Rédaction du Figaro.fr.

Le cas du Talk est intéressant car il est géré par les journalistes politiques de la rédaction papier : il est diffusé  en direct sur le web et un commentaire papier est publié le lendemain. Luc de Barochez le qualifie ainsi d’émission “bi-média”. Cet exemple montre que de nouvelles voies restent à explorer.

Les articulations entre le web et le papier sont difficiles à saisir, surtout dans l’époque agitée que nous traversons, prônant à tout bout de champ la “mort de la presse papier”.

Le rapport “quotidien” du web et du papier ? La temporalité !

Vous voulez faire une promenade ? Rien de plus simple, vous enfilez votre paire de chaussures de randonnée et vous partez sur pistes balisées ou pas… Ou vous pouvez brancher votre console de jeu, vous connecter sur Second Life…

La différence ? Votre humeur, votre envie de faire un effort, votre disponibilité, l’endroit où vous vous trouvez, votre capacité physique, etc.

Nous avons trop tendance dans le débat lié à l’affrontement des supports/médias d’information à aller trop vite en besogne et à oublier l’insupportable réalité : nous lisons du papier depuis des millénaires, de l’imprimé depuis Gutemberg et de l’écran depuis…10 ou 20 ans… Même en ne rapportant que la “liberté de la presse” à 1789, nous avons deux siècles contre  deux décennies.

Dans une autre dimension, l’information comme d’autres “biens” se consomme : les modes de consommation varient d’un être à l’autre, d’une catégorie de population à une autre, mais également d’un moment à un autre.

Il y a des rituels -même s’ils peuvent avoir tendance à changer, du moins à être bousculés de façon de plus en plus radicale, y compris chez les “quinquas” et plus - et des “zones de contact” privilégiées qui nous feront préférer à un moment le support imprimé à l’écran.

Un des signes intéressant est l’essor de la presse gratuite distribuée dans les transports en commun, et notamment son impact auprès de la cible dite “jeune”.

Il y a des fonctionnements neuro/physio/psychologiques qui font que la préhension, le rapport à une information, sa compréhénsion et sa mémorisation sont liés à une expérience plus large que sa simple lecture ou son “déchiffrage”. Le rapport spatio-temporel n’est pas un vain repère dans l’expérience…

Pour Luc de Barochez, les lecteurs “papier” vont associer l’exercice à un loisir/plaisir et choisir un moment “vacant” (trajet en transport) ou de détente pour lire, d’ailleurs des informations parfois plus liées à cet état d’esprit… Les lecteurs “écran” sont plutôt mobilisés sur les horaires de bureau à la recherche d’information professionnelles et/ou pratiques.

La lecture sur écran est “fatigante” et souvent parasitée soit par l’environnement contextuel de l’info ou par le système du “multitasking” qui sollicite l’esprit en permanence et peut diluer le rapport au texte. Le rapport à l’imprimé permet parfois plus de concentration : c’est d’ailleurs la voie choisie pour le distingo du traitement de l’information par Le Figaro “papier ” plus poussé vers l’investigation, l’éclairage fouillé, …, par rapport à une information continue en ligne plus “à chaud”, plus réactive, moins ancrée dans l’analyse (et certains de dire, moins marquée par la ligne éditoriale traditionnelle, assimilée “centre-droit”).

La force de la marque et l’expertise d’une rédaction papier permanente

Un des paradoxes qui sous-tend pourtant une idée sans doute plus puissante que cela ne paraît : la notion de limite. Un support papier tel qu’un journal est façonné suivant une pagination et des “cahiers”.  De plus, avec le recul dont nous disposons, nous connaissons les parcours de lecture de l’oeil (et de la main). Ce support papier ne comportera pas plus de caractères que la place allouée dans la maquette… Or notre esprit humain est limité et il a besoin de cadres et de repères pour fonctionner au maximum de ses possibilités (même si la serendipity, la liberté, …,sont acceptables.;) ) . Le web offre un espace illimité de stockage, de développement de l’information, etc. Et cela peut se révéler être un “gouffre”. La lecture à l’écran se veut plus immédiate car le regard est plus spontanément fuyant, les limites pour le coup vont être d’ordre plus technique (quoique…) la gestion de la taille de l’écran… D’un coup d’oeil je visualise une page, une double page et concentre mon attention sur un point précis… Tout ce vide à remplir peut donner le vertige…

Si la notion d’audience reste incontournable, que ce soit pour les ventes papier ou les insertions publicitaires en ligne et la monétisation des outils et services mis en place - quand David Abiker, journaliste de France Info qui anime le débat,  pose la donnée des millions d’abonnés d’Orange ou de MSN en indiquant qu’ils peuvent fournir de “l’information” à moindre frais et devenir de ce fait n°1 (à l’heure actuelle Le Figaro.fr détient la place, suivi en effet par de “pure player” comme Yahoo et Google News), Luc de Barochez insiste sur l’intérêt et le pouvoir de “la marque Le Figaro”. En face d’une force de frappe liée à une audience “captive”, Le Figaro offre une valeur ajoutée au niveau des contenus.

D’où l’idée de développer une zone payante sur le site, proposant des contenus innovants, des outils et des services. Mais il est vrai que “le modèle économique” de la presse on/off-line se cherche. Preuve en est l’annonce de l’arrivée prochaine d’éditions papier hebdomadaires de Mediapart ou Backchich.

Un nouveau terrain reste à explorer : celui du support mobile qui génère avec l’arrivée de l’IPhone un trafic surprenant  pour Le Figaro.fr et ouvre de nouvelles perspectives tout en soulevant des questions subsidiaires, telles que la rédaction d’articles spécifiquement adaptés au format de ces nouveaux écrans, la proposition d’abonnement payant simplifié par les développement du micropaiement, etc.

Pour le Groupe Le Figaro, la marque est liée à l’établissement du quotidien depuis 183 ans, ce qui lui donne une légitimité et une crédibilité dans le monde de l’information, il est donc inenvisageable de glisser comme certaines éditions Outre-Manche vers des quotidiens qui ne paraissent plus tous les jours ou des éditions uniquement numériques. D’autant que les publics des éditions papier et web du Figaro ne sont pas les mêmes et se recroisent peu. La formule du Figaro.fr permet donc de drainer une nouvelle audience attirée par le média, par la fourniture d’une information continue la plus exhaustive possible avec une qualité reposant sur les fondations même de la marque. La rédaction papier s’appuie sur 280 journalistes et la rédaction web dispose de sa propre équipe comportant une trentaine de journalistes à laquelle s’ajoute la dizaine de Sport 24. Lorsqu’un expert est nécessaire, il n’est pas besoin d’aller en chercher un très loin, ce qui fait que même si une partie des contenus reposent aussi sur des dépêches agence, ils sont pour la plupart la véritable production du journal.

En termes de contenus toujours, la reprise de l’édition papier sur le web tend à s’amenuir, repris pendant un temps aux 3/4, il n’y en a désormais plus qu’un tiers : certaines grandes exclusivités sortent désormais dès la veille sur le web et il y a une vraie montée en puissance des contenus propres à la rédaction web. De plus, la spécificité du média en ligne oblige également à développer le “link journalism”.

Les liaisons entre le papier et le web ne sont pas encore établies de façon systématique, mais pour certains reportages, par exemple sur la Somalie paru dans Le Figaro Magazine, un “making-off” a été proposé en ligne.

En attendant une possible édition du Figaro en Anglais pour asseoir et élargir son audience, le quotidien papier proposera fin Septembre une nouvelle formule tout en couleurs dans un nouveau format, preuve qu’il y a encore des raisons d’investir dans le support traditionnel.

 

Tiffany Assouline

CLIN D’OEIL

RT @mikiane : NewspaperWebsites & GoogleNews are loosing audience when Facebook & Twitter are more & more popular! Is Serendipity the answer ?

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30 avril 2009 4 30 /04 /avril /2009 05:53
A un moment où donner du sens et de la valeur, notamment à ses compétences professionnelles reste primordial à bien des égards, il serait malvenu de brader son image ou de risquer une promotion déplacée sur facebook.

Même si c'est les soldes en ce moment, une chose est sûre, je ne ferai pas de degriff sur sa "Ma Marque à Moi" ! Heureusement, il existe un petit guide pour garder le cap droit et le clic adroit en la matière...

Depuis toujours, les réputations se font et se défont. Avec l'arrivée d'Internet et plus récemment des réseaux sociaux, ce qui pouvait prendre quelques mois ou quelques années, ne prend plus que quelques heures. Il devient donc incontournable pour tout professionnel qui se respecte de construire et veiller à sa e-réputation.

Face à ce constat, Thierry Do Espirito et Marc Traverson ont créé dès fin 2007 un atelier dans ce sens. Aujourd'hui le fruit de cette expérience et de leur analyse donne lieu à l'édition d'un livre : "Ma marque à moi. Développez votre marque personnelle en 8 étapes" (Je veux vivre ma vie > Je laisse parler mes envies > Je sais qui je suis >  Je me laisse regarder > Je construis mon réseau > J'apprivoise le virtuel > Je cultive mes atouts > Je passe à l'action ). Avec une partie, telle que "Le virtuel pour les nuls", même les grands débutants s'y retrouveront !

"Ma Marque Personnelle (...) me permet de communiquer efficacement sur moi et sur mon projet de vie." Thierry Do Espirito nous offre donc les clefs du royaume, d'une meilleure connaissance de soi à une meilleure expression de soi, tout en vivant le changement le mieux possible. Côté changement, Thierry en est un spécialiste ayant signé précédemment "La communication de changement" aux Editions CFPJ.

Ne ratez pas une occasion de rencontrer l'auteur et d'en savoir plus le 12 mai prochain lors d'un petit-déjeuner Aux Grandes Marches, cliquez ici.

Pour en savoir plus et acheter le livre : www.mamarqueamoi.com.
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10 décembre 2008 3 10 /12 /décembre /2008 01:43
On n'arrête pas "Le Progrès", 62 rue Legendre dans le 17ème, haut lieu parisien de la culture argentine et désormais du web 2.0. Il y avait un avant 9 décembre 2008, il y a eu un "after Le Progrès chez Nico", et pour y avoir assisté : c'était historique !



Photos non publiables, vidéos inédites et plein de rebondissements inattendus, voilà ce que cela donne de mettre en présence des "corps électriques" dans une pièce de 20m2 : septs hommes (et curieusement aucun nain) et une jeune femme (qui ne s'appelle pas Blanche Neige), un berger tahitien (qui se trouve être une bergère), un Book Mac Air (à lire avec l'accent Bookmaker en un ou deux mots) et un e-p-PC (avec l'accent cela peut se lire "hippie" PC)...

Dans aaaliens, il y a trois "a" pour "auteur - agrégateur - associé", mais aussi pour "Nico-las, Auré-lien et Tom"; il y a liens et il y a aliens. Est-ce que les extra-terrestres sont Belges..? en partie seulement, vu que certains viennent du Nord ou sont parisiens. Mais après avoir visionné quelques vidéos cultes de Daerden, la question reste posée...

Est-ce que le web est soluble ? Là n'est toujours pas la question, mais la réponse est qu'il apporte bien des solutions : l'adhésion rapide et immédiate à de nouveaux outils qui revisitent notre façon la plus évidente de consommer les médias (information, son, vidéo, ...) pose la pierre angulaire de nouveaux débats. Ils prennent des formes multiples et des noms parfois complexes tels que : la fin de la linéarité, les possibilités offertes aujourd'hui de mixer les contenus, la nécessaire intervention humaine aussi bien dans l'agrégation que le décryptage d'informations, etc.

De chermedia à aaaliens, en passant par narvic et zutopik, nous sommes dans une nouvelle dimension du web qui n'est pas un numéro, mais une porte ouverte sur le post-média...pendant ce temps, Ray Kurzweil parle de l'Homme 2.0 (promis, on en reparlera Aurél)...

Nous vivons donc un moment formidable !

Tiffany
@ AffinyT


PS : un cadeau pour les initiés (un mix perso réalisé grâce à www.mixtheweb.com)


(ACCESS CODE : shuS4fed)

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30 mai 2008 5 30 /05 /mai /2008 09:24

Jackpot est une comédie romantique au sens strict du terme, tous les éléments sont là : un homme et une femme, cherchant l'amour, rencontrant moult difficultés sur la route du paradis et finalement qui se trouvent, se détestent puis s'aiment (exactement la recette des romans à l'eau de rose de Barbara Cartland ou de Harlequin).

Pourtant, en dessous des grosses ficelles fonctionnant sans aucune difficulté, on peut y voir un message concernant le mariage : qu'est-ce qui fait qu'un mariage fonctionne et dure ? qu'est-ce que l'engagement ? quel sens cela peut-il avoir..? sutout quand on n'a pas le profil "du gendre idéal" (tiens ça me rappelle une chanson... "on s'attache" de Christophe Maé).

Il y a quelques temps un film du même acabit était sorti avec Pierce Brosnan et Julianne Moore : mariage inconsidéré à Vegas, réveil difficile, demande de divorce et tombage en amour à retardement...


Alors : vaut-il mieux sauter d'abord et se poser les questions ensuite, car si l'on fait les choses dans le sens inverse, on n'y va jamais ? ou finalement est-ce que le mariage n'est pas une construction, qui demande des efforts au quotidien, une écoute, une attention à l'autre, un apprentissage... comme la psy de thérapie de couple interpretée de façon très soft par Queen Latifah conclut : "vous les prenez séparés, ils ont plein de problèmes, vous les mettez ensemble et allez comprendre, cela fonctionne"...

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3 février 2008 7 03 /02 /février /2008 21:49

A l'heure où le SMS l'emporte même sur les conversations téléphoniques, il est intéressant de s'interroger sur la pratique et notre lien à l'acte d'écrire.

Vous arrive-t-il encore de saisir un crayon à papier, un stylo-bille, un stylo-plume ?

Offrez-vous encore ce genre d'instruments "archaïques" en cadeau ?

Quel est le rapport que vous entretenez avec votre ou vos stylos ? et avec le papier ?

griffonez-vous toujours quand vous discutez au téléphone ?

en tant qu'auteur, rédacteur, journaliste, vous arrive-t-il encore de passer par la phase papier ou sautez-vous directement à vos claviers ?

Pour ma part, j'ai la nostalgie des plumes et de l'encre colorée, de mes essais avortés de calligraphie... Je passe en moyenne 10 heures devant un écran et je frappe au clavier quasiment tout ce que j'écris... par gain de temps... même lorsque je prends des notes, c'est plus pour activer ma mémoire que pour les taper ensuite... Offrir un stylo ? à qui ? peut-être à moi pour renouer avec le plaisir et le vertige de la page blanche... à l'heure de l'avènement du livre numérique, ne serait-il pas tentant d'écrire un livre entièrement à la main ?

j'attends vos réactions pour partager...

à vos plumes ;)

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18 décembre 2007 2 18 /12 /décembre /2007 00:56

Le vaste monde, devenu avec les -de plus en plus nouvelles -technologies un village, tend à devenir finalement un immeuble dans la cage d'escaliers et l'ascenseur duquel vous croisez vos voisins...

Le petit circuit - parfois -fermé du réseautage/networking fait que l'on se retrouve entre nous, où que l'on aille. La naissance de cette idée : une sollicitation sur Facebook d'un "ami d'ami", qui finalement aurait tout aussi bien pu me croiser sur Jobmeeters.

Certaines personnes deviennent des familiers au détour de l'échange d'une bière virtuelle (qui ne le restera peut-être pas éternellement) et ce sont toutes les hiérarchies et constructions relationnelles qui se trouvent mises en défaut. Les esprits logiques et raison-ables  vont avoir besoin de s'assouplir pour s'intégrer dans cette nouvelle ère sociale. Ici, les fractures risquent de s'additionner. Entre fracture du lien sociel et fracture technologique, nombreuses sont les embûches d'un citoyen du monde à l'époque web 2.0.

Si cela fait plus de 10 ans que nous surfons, il faut avouer que l'art de se faire remarquer le reste (un art ;) et la multiplication des canaux n'est pas forcément source de cacophonie quand on maîtrise les règles de l'harmonie ou du dodécaphonisme.

Reste à (re-)trouver une souplesse d'esprit et se laisser porter par les vagues successives : ceux qui sauront y faire iront loin à n'en pas douter !

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19 novembre 2007 1 19 /11 /novembre /2007 19:58

nous voilà rejettés par la marée des périphériques saturés, des wagons blindés... dans ces moments de stress, on est heureux de pouvoir travailler n'importe où avec un ordi et une connexion adsl... quoique, quitte à choisir, on préfèrerait se trouver sur la grève d'une plage à la mer bleu turquoise, chauffée à 30°C ;)

là où la fiction rejoint la réalité, c'est que juste après avoir tapé ces quelques lignes, j'ai trouvé cette (nouvelle) définition du mot grève :

Απεργία (grève) : ancienne forme de résistance, nouvelle forme de vacances.

Pour en savoir plus ;)

 Finalement, il y a des choses qui restent indémodables : "sous les pavés... la plage" ;)

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4 novembre 2007 7 04 /11 /novembre /2007 23:30
Il y a de cela quelques semaines à peine, je me rendais en tant que Consultante d'Adverbia à la soirée des Amis du Territoire organisée par Frédéric Duval. J'y ai rencontré notre hôte, mais également une pléïade de gens forts divers et intéressants... dont Marc Traverson, coach. Dans les jours qui ont suivi, j'ai naturellement proposé à Marc de rejoindre mon réseau sur Viadéo... Il y a quelques jours, j'ai pu relevé la visite d'un certain Thierry Do Espirito, dont le profil et les activités m'intéressaient... Avant de lui proposer de rejoindre ma "friendlist", j'ai visité ses sites... pour découvrir qu'il était associé à Marc pour le montage d'un module de formation, ainsi que pour Kaïros, un podcast audio qui donne de bons tuyaux... Le monde est vraiment petit ;) D'autant qu'avec l'aide du Dr TalentPower, nous avons ouvert sur Jobmeeters le groupe de discussion "coachings" (avec un "s")... à suivre !
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