A lire, ma dernière chronique co-signée sur blog territorial, cliquez ici
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Placez en observation un lâche con-génital, une demi-sœur qui n’est pas la moitié d’une p…., un italiano qui est homo…phile, une Elizabeth qui n’a rien d’une Queen, et une apprentie camionneuse ascendante fée clochette, le tout réuni autour d’une Maud plutôt MAUssaDe (voir maux-sad)…
Remuez le tout, et vous apprendrez que nous sommes tous des cochons… d’Inde et la vie une farce.
Alors, plutôt que de devenir des dindons, venez rire à l’occasion d’une pendaison de crémaillère pas comme les autres !
Pour plus d'infos sur la pièce et bénéficier de places à tarif réduit grâce à Billet Réduc, cliquez ici !
PS : pour l'anecdote, je me disais récemment que cela faisait trop longtemps que je n'étais pas allée au théâtre. Il a suffit que je me fasse gentiment interviewée sur la sortie prochaine du remake de "L'emmerdeur" pour m'y retrouver... merci Lionel !
reprise du texte paru sur
www.horschamp.org
Les artistes sont-ils en France une espèce en voie d'extinction ?
Oui
Si l'on détruit leur biotope
Si on les prive d'oxygène
Si on ne leur accorde aucune valeur
autre qu'économique ou médiatique
Si on les considère comme des nuisibles.
Lors de la campagne pour la dernière élection présidentielle française, la question de la culture en général et de l'art en particulier fut la grande absente du débat public.
C'était déjà très inquiétant : comment un pays dont l'aura mondiale est largement due au travail de ses artistes et de ses philosophes pourrait-il avancer en sous-estimant ou en niant son histoire culturelle et artistique ?
Aujourd'hui la situation s'aggrave. On nous parle de répondre à une demande et d'obtenir des résultats quantifiables dans le domaine de l'immatériel, de la pensée, du symbolique.
C'est nier la spécificité de l'art.
Toute l'histoire culturelle de notre pays le prouve : la demande ne garantit rien et aucun résultat quantitatif ne peut fonder la force d'une œuvre.
Contre les chiffres, défendons ces animaux inutiles qui sont essentiels à la survie collective de ce roseau pensant, l'être humain…
Gabriel Equerre
Retrouvez Gabriel sur MySpace, cliquez ici
Samedi 1er mars à 21:00
aux 3 chapeaux
48 rue des cascades
75020 Paris
Metro pyrennées
Google Maps pour y aller, cliquez ici
Entrée libre
Gabriel equerre : chant, guitare, violon, djembé
En 1993, j'ai fait mes débuts comme Assistante Relations Presse. A cette époque, je travaillais pour La Troisième Agence dont un des clients principaux était la Caisse d'Epargne Ile-de-France Nord. Cet été-là, j'ai eu la chance d'avoir comme budget, les RP de Franck Proffit, skipper du Tour de France à la Voile, sponsorisé par la CE.
Récemment, j'ai eu l'idée de reprendre contact avec lui -l'appel du large sans doute ;)- et grâce aux services de Groupama, j'ai eu la bonne surprise de recevoir un appel. Après un rendez-vous manqué à Paris, il m'a annoncé que le départ du Tour du Monde était retardé pour raisons météo.
Depuis le 24 janvier, le feu vert a été donné et la course est lancée. Groupama 3 a pris un très bon départ et approche du cap de Bonne Espérance... un bon présage.
A suivre... ici
A l'heure où le SMS l'emporte même sur les conversations téléphoniques, il est intéressant de s'interroger sur la pratique et notre lien à l'acte d'écrire.
Vous arrive-t-il encore de saisir un crayon à papier, un stylo-bille, un stylo-plume ?
Offrez-vous encore ce genre d'instruments "archaïques" en cadeau ?
Quel est le rapport que vous entretenez avec votre ou vos stylos ? et avec le papier ?
griffonez-vous toujours quand vous discutez au téléphone ?
en tant qu'auteur, rédacteur, journaliste, vous arrive-t-il encore de passer par la phase papier ou sautez-vous directement à vos claviers ?
Pour ma part, j'ai la nostalgie des plumes et de l'encre colorée, de mes essais avortés de calligraphie... Je passe en moyenne 10 heures devant un écran et je frappe au clavier quasiment tout ce que j'écris... par gain de temps... même lorsque je prends des notes, c'est plus pour activer ma mémoire que pour les taper ensuite... Offrir un stylo ? à qui ? peut-être à moi pour renouer avec le plaisir et le vertige de la page blanche... à l'heure de l'avènement du livre numérique, ne serait-il pas tentant d'écrire un livre entièrement à la main ?
j'attends vos réactions pour partager...
à vos plumes ;)
Parce que le fait de souhaiter du bonheur et le meilleur aux autres est un acte positif, d'encouragement et de partage, il a forcément une influence sur notre façon d'envisager notre vie et nos projets. Alors je vous souhaite une année 2.0.0.8 sous le signe du succès, de la réalisation et de l'épanouissement : croyez en vous, en vos rêves et décidez que nous entrons dans l'année de tous les possibles !
Le vaste monde, devenu avec les -de plus en plus nouvelles -technologies un village, tend à devenir finalement un immeuble dans la cage d'escaliers et l'ascenseur duquel vous croisez vos voisins...
Le petit circuit - parfois -fermé du réseautage/networking fait que l'on se retrouve entre nous, où que l'on aille. La naissance de cette idée : une sollicitation sur Facebook d'un "ami d'ami", qui finalement aurait tout aussi bien pu me croiser sur Jobmeeters.
Certaines personnes deviennent des familiers au détour de l'échange d'une bière virtuelle (qui ne le restera peut-être pas éternellement) et ce sont toutes les hiérarchies et constructions relationnelles qui se trouvent mises en défaut. Les esprits logiques et raison-ables vont avoir besoin de s'assouplir pour s'intégrer dans cette nouvelle ère sociale. Ici, les fractures risquent de s'additionner. Entre fracture du lien sociel et fracture technologique, nombreuses sont les embûches d'un citoyen du monde à l'époque web 2.0.
Si cela fait plus de 10 ans que nous surfons, il faut avouer que l'art de se faire remarquer le reste (un art ;) et la multiplication des canaux n'est pas forcément source de cacophonie quand on maîtrise les règles de l'harmonie ou du dodécaphonisme.
Reste à (re-)trouver une souplesse d'esprit et se laisser porter par les vagues successives : ceux qui sauront y faire iront loin à n'en pas douter !