29 décembre 2008
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reprise de mon article sur facebook
Au début, il y a l'arène vide du cirque d'hiver...
Puis, le tambour résonne, le boogie-woogie des années 50 ronronne dans les hauts-parleurs, les tentures rouges et bleu nuit s'agitent doucement pour laisser place à l'entrée des techniciens de la régie et aux musiciens...
Quand les lumières s'éteignent, l'air de rien un "hurleur" commence à nous raconter la vie de celle qui ne s'appelle pas encore Piaf, encouragé par quelques "touristes" américains ou anglais...
Tout débute dans un "claque", se poursuit sur la butte, à Pigalle pour monter jusqu'à Broadway.
La magie commence avec les lumières, la musique en live, les costumes, les coiffures et maquillages, les astucieux éléments de décors, les chorégraphies impeccables,... et prend corps avec la talentueuse Marie Orlandi qui incarne - avec toute la force du verbe - une "môme" attachante, bouleversante, criante de vérité ; le tout au milieu d'une troupe qui la porte et l'emporte de ses débuts à sa fin.
Le frisson est garanti, ainsi que les larmes, qui n'étaient pas là que pour l'effet ce soir de dernière...
La salle était debout pour applaudir l'audace de cette équipe pleine de talents : d'un chanteur d'opéra à un acrobate, en passant par toutes les voix, de la poésie de Cocteau incarnée par un doux rêveur aux débuts fracassants d'un jeune Yves Montant, d'une drag-queen tenancière de bordel à une meneuse de revue américaine, d'une Marlène à un Marcel, d'un Paul indifférent à un Georges très charnel, de danseuses de French Cancan à "titi" amoureux, d'un coiffeur au nom imprononçable à une assistante toujours fidèle, tout ce beau monde chantait, dansait, se battait ou s'aimait et nous transmettait au passage toute la palette des sentiments qui ont animés la vie d'une "grande petite".
En savoir plus : http://www.piafjetaime.fr
Au début, il y a l'arène vide du cirque d'hiver...
Puis, le tambour résonne, le boogie-woogie des années 50 ronronne dans les hauts-parleurs, les tentures rouges et bleu nuit s'agitent doucement pour laisser place à l'entrée des techniciens de la régie et aux musiciens...
Quand les lumières s'éteignent, l'air de rien un "hurleur" commence à nous raconter la vie de celle qui ne s'appelle pas encore Piaf, encouragé par quelques "touristes" américains ou anglais...
Tout débute dans un "claque", se poursuit sur la butte, à Pigalle pour monter jusqu'à Broadway.
La magie commence avec les lumières, la musique en live, les costumes, les coiffures et maquillages, les astucieux éléments de décors, les chorégraphies impeccables,... et prend corps avec la talentueuse Marie Orlandi qui incarne - avec toute la force du verbe - une "môme" attachante, bouleversante, criante de vérité ; le tout au milieu d'une troupe qui la porte et l'emporte de ses débuts à sa fin.
Le frisson est garanti, ainsi que les larmes, qui n'étaient pas là que pour l'effet ce soir de dernière...
La salle était debout pour applaudir l'audace de cette équipe pleine de talents : d'un chanteur d'opéra à un acrobate, en passant par toutes les voix, de la poésie de Cocteau incarnée par un doux rêveur aux débuts fracassants d'un jeune Yves Montant, d'une drag-queen tenancière de bordel à une meneuse de revue américaine, d'une Marlène à un Marcel, d'un Paul indifférent à un Georges très charnel, de danseuses de French Cancan à "titi" amoureux, d'un coiffeur au nom imprononçable à une assistante toujours fidèle, tout ce beau monde chantait, dansait, se battait ou s'aimait et nous transmettait au passage toute la palette des sentiments qui ont animés la vie d'une "grande petite".
En savoir plus : http://www.piafjetaime.fr